Com organização e luta construindo a Maré que queremos: experiências de mobilização popular em Nova Holanda

• Autor(a) principal: Leite, Bruno Paixão
• Data de Publicação: 2013
• Tipo de documento: Trabalho de conclusão de curso
• Idioma: por
• Título da fonte: Repositório Institucional da UFRJ
• Texto Completo: http://hdl.handle.net/11422/9392
• topic: Favela da Maré (Rio de Janeiro, RJ); Favela Nova Holanda (Rio de Janeiro, RJ); Associação de moradores; Mobilização popular; CNPQ::CIENCIAS SOCIAIS APLICADAS::PLANEJAMENTO URBANO E REGIONAL::SERVICOS URBANOS E REGIONAIS::SERVICOS COMUNITARIOS

L'objectif de cette étude était tout d'abord de réactiver la mobilisation populaire développée par l'Association des résidents et amis de la Nova Holanda (AMANH) entre 1984 et 1993. Puis d'identifier la mobilisation actuelle, lancée en Février 2010, appelé collectif local "la Maré que nous voulons", dans le but d'en observer le fonctionnement (La construction d'un programme, l'établissement d'un ordre du jour, la gestion des conflits, les membres et leurs intérêts). A cet effet, nous avons utilisé une méthodologie consistant en une collecte données provenant de différentes sources : des documents personnels, des journaux, des photographies, des études réalisées sur la Nova Holanda, des actions / mouvements collectifs, des visites au Musée de la Maré, l'observation sur le terrain et la participation aux réunions du collectif « La Maré que nous voulons». Ce travail nous a enseigné l'importance des luttes collectives et le rôle fondamental de la mémoire dans la formation de l'identité. A partir de l'histoire de la mobilisation de la Nova Holanda, nous avons pris conscience de son rôle essentiel pour insérer l'individu dans l'espace et le temps, et par conséquent dans les actions et mouvements collectifs. Enfin, nous avons identifié de nombreuses avancées menées par le mouvement associatif tout au long des années 80 et la présence d'autres protagonistes aujourd'hui. Une des principales différences entre les actions de AMANH et celles du mouvement collectif actuel, est que ce dernier cherche à entreprendre un programme commun pour agir dans l'ensemble des seize localités de la Maré, intégrant les associations de quartiers de chaque localité a partir des problèmes communs du quartier Maré.