Philia et charis
Autor(a) principal: | |
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Data de Publicação: | 2009 |
Tipo de documento: | Artigo |
Idioma: | fra |
Título da fonte: | Classica (Sociedade Brasileira de Estudos Clássicos. Online) |
Texto Completo: | https://revista.classica.org.br/classica/article/view/178 |
Resumo: | L’article expose les rapports de l’amitié et du plaisir en Grèce ancienne d’après les principes de l’anthropologie historique. Aussi, il travaille sur des « notions indigènes », qui s’inscrivent dans une constellation de notions, parmis lesquelles l’association de charis et philia. En admettant qu’on manque du matériau nécessaire à pousser à une conclusion définitive l’étude sur la charis et la philia chez les Grecs, c’est à dire, de l’individu, la personne, l’intériorité du moi, l’article tente de faire l’étude avancer, en s’appuyant sur quelques textes grecs, notamment ceux d’Arsitote. Pour le philosophe, la charis n’est pas une affection (pathos), à la différence de la philia, classée comme telle dans la Rhét. ; d’après l’EN, elle est « une vertu ou accompagnée de vertu ». Le « charitable » pourtant, relatif de la charis, est l’une des espèces de l’aimable qui est, à son tour, le relatif de l’amitié reposant sur le plaisir. Après quelques démarches, l’article montre comment la relation visuelle occupe une place fondamentale dans la conception aristotélicienne de charis et de philia. |
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