Memórias da ÍdichSchule : movimentos de uma escola judaica, pelas narrativas de estudantes e professores (1922 – 1956, Porto Alegre/RS)

• Autor(a) principal: Almeida, Dóris Bittencourt
• Data de Publicação: 2018
• Tipo de documento: Artigo
• Idioma: por
• Título da fonte: Repositório Institucional da UFRGS
• Texto Completo: http://hdl.handle.net/10183/216171
• topic: Histoire de l’éducation; Histoire orale; Éducation des juifs; Collections de memoires orales; História da educação; História oral; History of education; Oral history; Jewish education; Oral memories' collection

L’article traite des procédures de l’éducation eprouvés par une communauté juive à Porto Alegre, en se concentrant sur la construction d’une école, la ÍdichSchule. La temporalité de la recherche comprend, comme point de départ, l’année 1922, date de fondation de la première synagogue et l’école, jusqu’en 1956, quand il subit des transformations importantes à offrir le Curso Ginasial. Le corpus empirique est constitué de récits de mémoire orale de personnes agées, la pluspart d’origine juive, étudiants et/ou professeurs dans cette institution d’enseignement. Sont entrevues produites entre 1980 et 1990 des décennies qui sont archivées dans un acquits traduit dans la culture écrite. L’intérêt de la recherche réside dans qui a été choisi par les narrateurs comme souvenirs d’expériences de la communauté. Grâce à l’analyse de documents, s’est produit une intelligibilité sur les souvenirs de ceux qui préservent, presque viscéralement, l’appréciation de la culture écrite. L’objet d’une enquête, on peut dire que la construction d’un lieu à l’étude était aussi importante comme un endroit pour prier. Sur cette interface qui est le ÍdichSchule, une institution qui a besoin, comme beaucoup d’autres, surmonter l’opposition à se joindre à la société brésilienne. En ce sens, en déduit qu’il y avait l’intention assimilacioniste, au milieu des discussions au sujet de la condition des Juifs dans la société brésilienne. Dans les disputes, qui étaient traduit en particulier des accords sur la formation des étudiants, un rapprochement entre ceux qui donnaient la priorité à l’enseignement religieux et ceux qui prônaient la sécularisation accrue de l’éducation.