Hacking e práticas de liberdade : conspirando com hackers outros mundos

Detalhes bibliográficos
Autor(a) principal: Walter, Bruno Eduardo Procopiuk
Data de Publicação: 2019
Tipo de documento: Tese
Idioma: por
Título da fonte: Biblioteca Digital de Teses e Dissertações da UFRGS
Texto Completo: http://hdl.handle.net/10183/205499
Resumo: À travers cette recherche, nous cherchons à penser/problématiser/tordre notre mode de relation ordinaire avec les objets techniques, en conspirant avec les hackers d’autres modes de relations qui amplifient notre degré de liberté. Plus que les hackers en eux-mêmes, nous nous intéressons aux autres mondes possibles qu’ils portent avec eux, aux pratiques de liberté qu’ils effectuent et qui nous permettent d’accéder à d’autres modes de relations avec les savoirs et les pouvoirs institués. Cependant, nous ne décrivons pas seulement quelques hacks, mais, surtout, nous opérons aussi dans le sens d’ouvrir des objets techniques qui, en général, sont des boîte-noires pour nous. Dans la première des trois parties, qui constituent cette thèse, en ayant Gilbert Simondon comme interlocuteur privilégié, nous parlons de quelques positions que nous pouvons occuper pendant les rencontres avec les objets techniques (comme inventeur, producteur, consommateur, utilisateur, etc.), en soulignant que le hacking apparaît comme étant un mouvement inventif à travers lequel le sujet reprend les virtualités des objets pour les actualiser. On n’aborde pas seulement notre mode de relation avec les objets techniques tangibles, mais aussi avec un type très spécial d’objets qui sont les softwares, en mettant en question leurs ouverture/fermeture. Dans la deuxième partie, nous nous retardons à penser et à problématiser nos rencontres avec les réseaux d’objets techniques hétérogènes qui participent à différentes stratégies de la surveillance et de la conduction des conduites. Principalement, avec Antoinette Rouvroy, nous parlons de deux phénomènes qui sont définis avec les termes Internet de choses et Big Data, en accentuant l’omniprésence des objets techniques, la récolte massive de donnés – qui ne sont pas rares en temps réel – et la production de profils selon lesquels ils opèrent et que l’auteure définie comme “gouvernementalité algorithmique”. Avec les pratiques hackers, qui vont au-delà de l'anonymat jusqu'à la création et la disponibilisation des programmes et de leurs codes source, nous cherchons à présenter d’autres modes de composition qui puissent contribuer à exercer des pratiques de liberté. Enfin, dans la troisième et la dernière partie, nous nous consacrons à aborder la création de nouveaux mondes. Pour cela, on prend les idées de Michel Hardt et Antonio Negri, et nous parlons des combats autour du commun (contre sa expropriation, pour sa production collaborative et pour les formes de le gérer). Aussi, en s’appuyant sur une vision plus philosophique, nous reprenons la création de nouveaux mondes par le biais du hacking, en tant qu’action inventive, en se basant sur Gilles Deleuze et Pierre Lévy. Ainsi, à travers d'innombrables rencontres – avec les objets techniques, les algorithmes, les hackers, les philosophes, les activistes, etc. - nous soulignons, tout au long de cette thèse, l’urgence de repenser le mode à travers duquel nous nous relions avec les objets techniques.
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Dans la première des trois parties, qui constituent cette thèse, en ayant Gilbert Simondon comme interlocuteur privilégié, nous parlons de quelques positions que nous pouvons occuper pendant les rencontres avec les objets techniques (comme inventeur, producteur, consommateur, utilisateur, etc.), en soulignant que le hacking apparaît comme étant un mouvement inventif à travers lequel le sujet reprend les virtualités des objets pour les actualiser. On n’aborde pas seulement notre mode de relation avec les objets techniques tangibles, mais aussi avec un type très spécial d’objets qui sont les softwares, en mettant en question leurs ouverture/fermeture. Dans la deuxième partie, nous nous retardons à penser et à problématiser nos rencontres avec les réseaux d’objets techniques hétérogènes qui participent à différentes stratégies de la surveillance et de la conduction des conduites. Principalement, avec Antoinette Rouvroy, nous parlons de deux phénomènes qui sont définis avec les termes Internet de choses et Big Data, en accentuant l’omniprésence des objets techniques, la récolte massive de donnés – qui ne sont pas rares en temps réel – et la production de profils selon lesquels ils opèrent et que l’auteure définie comme “gouvernementalité algorithmique”. Avec les pratiques hackers, qui vont au-delà de l'anonymat jusqu'à la création et la disponibilisation des programmes et de leurs codes source, nous cherchons à présenter d’autres modes de composition qui puissent contribuer à exercer des pratiques de liberté. Enfin, dans la troisième et la dernière partie, nous nous consacrons à aborder la création de nouveaux mondes. Pour cela, on prend les idées de Michel Hardt et Antonio Negri, et nous parlons des combats autour du commun (contre sa expropriation, pour sa production collaborative et pour les formes de le gérer). Aussi, en s’appuyant sur une vision plus philosophique, nous reprenons la création de nouveaux mondes par le biais du hacking, en tant qu’action inventive, en se basant sur Gilles Deleuze et Pierre Lévy. Ainsi, à travers d'innombrables rencontres – avec les objets techniques, les algorithmes, les hackers, les philosophes, les activistes, etc. - nous soulignons, tout au long de cette thèse, l’urgence de repenser le mode à travers duquel nous nous relions avec les objets techniques.Nesta tese buscamos pensar/problematizar/tensionar nosso modo de relação ordinário com os objetos técnicos, conspirando com os hackers modos outros de relação que ampliem o nosso grau de liberdade. Mais do que os hackers em si, interessamo-nos pelos outros mundos possíveis que eles carregam consigo, pelas práticas de liberdade que efetuam e que nos permitem participar de outros modos de relação com os saberes e os poderes instituídos. Para isso, não só descrevemos alguns hacks, mas, sobretudo, também operamos no sentido de abrir objetos técnicos que, no geral, nos são como que caixas-pretas. Na primeira das três partes que compõe esta tese, tendo Gilbert Simondon como interlocutor privilegiado, discorremos acerca de algumas posições que podemos ocupar nos encontros com os objetos técnicos (a de inventor, a de produtor, a de consumidor, a de usuário etc.), destacando que o hacking aparece enquanto um movimento inventivo por meio do qual o sujeito retoma virtualidades dos objetos para atualizá-las. Não só abordamos nosso modo de relação com os objetos técnicos tangíveis, mas também com um tipo muito especial de objeto que são os softwares, colocando em questão sua abertura/fechamento. Na segunda parte, detemo-nos a pensar e problematizar nossos encontros com redes de objetos técnicos heterogêneos que participam de diferentes estratégias de vigilância e condução de condutas. Sobretudo com Antoinette Rouvroy, discorremos acerca de dois fenômenos aos quais se têm referido por meio dos termos Internet das Coisas e Big Data, ressaltando a ubiquidade dos objetos técnicos, a coleta massiva de dados – não raro em tempo real – e a produção de perfis por meio dos quais opera o que a autora denomina de “governamentalidade algorítmica”. Com as práticas hackers, que vão desde práticas de anonimato até a criação e disponibilização de programas e seus códigos-fonte, buscamos apresentar outros modos de composição que podem contribuir para exercermos práticas liberdade. Por fim, na terceira e última parte, dedicamo-nos a abordar a criação de novos mundos. Para isto, apropriando-nos do pensamento de Michel Hardt e Antonio Negri, discorremos a respeito de lutas em torno do comum (contra sua expropriação, pela sua produção colaborativa e pelas formas de geri-lo). Também, por um viés mais filosófico, retomamos a criação de novos mundos por meio do hacking, enquanto ação inventiva, pensando-o a partir de Gilles Deleuze e Pierre Lévy. Assim, por meio de inúmeros encontros – com objetos, com algoritmos, com hackers, com filósofos, com ativistas etc. –, ressaltamos, ao longo desta tese, a urgência de repensarmos o modo pelo qual nos relacionamos com os objetos técnicos.This thesis aims at thinking/discussing/tensioning our ordinary way of relating with the technical objects, conspiring to other types of relations with the hackers in order to broaden our degree of freedom. More than the hackers themselves, there is the interest for other possible worlds they carry around, the practices of freedom they perform, allowing us to participate in other types of relations with knowledge and the ruling power. To achieve this, we didn’t only describe some hacks; but, above all, we also operated in the sense of opening technical objects which, in general, we see as black boxes. The thesis is composed by three parts; in the first one, having Gilbert Simondon as a privileged interlocutor, we addressed some positions that we can occupy in the encounters with the technical objects (as an inventor, a producer, a consumer, a user, and so on), highlighting that hacking appears as an inventive movement whereby the individual takes back the object virtualities to update them. We do not only approach our way of relating with the tangible technical objects, but also with a very special type of objects, which are the softwares, calling into question their opening/closing. In the second part, we dwelled on thinking and discussing our encounters with the nets of heterogeneous technical objects that participate of different surveillance strategies and conduct of conducts. Especially with Antoinette Rouvroy, we addressed two phenomena which have been referred by the terms Internet of Things and Big Data, highlighting the ubiquity of the technical objects, the massive data collection – not rare in real time – and the profile production through which is operated by what the author calls “algorithmic governmentality”. With the hackers’ practices, going from anonymity practices to the creation and provision of programs and their source code, we aim at presenting other forms of composition that can contribute, so we can exercise practices of freedom. Lastly, in the third and final part, we dedicated ourselves to address the creation of new worlds. To achieve this, we took as basis the thoughts of Michel Hardt and Antonio Negri, we argued about the fights over the common (against its expropriation, for its collaborative production and for ways of dealing with it). Also, employing a more philosophical background, we resumed the creation of new worlds through hacking as an inventive act, considering it under the views of Gilles Deleuze and Pierre Lévy. Thus, by means of countless encounters – with objects, with algorithms, with hackers, with philosophers, with activists, etc. – we emphasize, throughout this thesis, the urgency of rethinking the way we relate with the technical objects.application/pdfporObjets techniquesPratiques de libertéGouvernementalité algorithmiqueCommunPsicologia socialTecnologiaInformáticaGovernamentalidadeLiberdadeHackingTechnical ObjectsPractices of FreedomAlgorithmic governmentalityCommonHacking e práticas de liberdade : conspirando com hackers outros mundosinfo:eu-repo/semantics/publishedVersioninfo:eu-repo/semantics/doctoralThesisUniversidade Federal do Rio Grande do SulInstituto de PsicologiaPrograma de Pós-Graduação em Psicologia Social e InstitucionalPorto Alegre, BR-RS2019doutoradoinfo:eu-repo/semantics/openAccessreponame:Biblioteca Digital de Teses e Dissertações da UFRGSinstname:Universidade Federal do Rio Grande do Sul (UFRGS)instacron:UFRGSTEXT001102681.pdf.txt001102681.pdf.txtExtracted Texttext/plain408861http://www.lume.ufrgs.br/bitstream/10183/205499/2/001102681.pdf.txtcff1186c037f1f4332c8d550f9b744b1MD52ORIGINAL001102681.pdfTexto completoapplication/pdf1245175http://www.lume.ufrgs.br/bitstream/10183/205499/1/001102681.pdfb22a0889db56dbe4d4467207bcccec38MD5110183/2054992020-02-07 05:15:09.775634oai:www.lume.ufrgs.br:10183/205499Biblioteca Digital de Teses e Dissertaçõeshttps://lume.ufrgs.br/handle/10183/2PUBhttps://lume.ufrgs.br/oai/requestlume@ufrgs.br||lume@ufrgs.bropendoar:18532020-02-07T07:15:09Biblioteca Digital de Teses e Dissertações da UFRGS - Universidade Federal do Rio Grande do Sul (UFRGS)false
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