Diferença e evolucionismo: questões bergsonianas
Autor(a) principal: | |
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Data de Publicação: | 2016 |
Tipo de documento: | Dissertação |
Idioma: | por |
Título da fonte: | Biblioteca Digital de Teses e Dissertações da UERJ |
Texto Completo: | http://www.bdtd.uerj.br/handle/1/12290 |
Resumo: | La philosophie de la différence pensée par Bergson, conjointement avec des concepts de différenciation et d'élan vital, laisse l'espace à une optimisation fondamentale de la vie et à une extension de l'horizon de l'évolutionnisme. La différenciation est la manifestation de la force interne à la vie elle-même. Selon la différenciation, quelque virtualité potentielle peut venir instancier réellement et matériellement, en réservant et en annonçant effectivement sa concrétude dans l'existence sous la forme d'organismes vivants. En même temps, Bergson marque l'élan vital comme l'auteur du processus de différenciation, la possibilité de l'expression de la différence. Ainsi est la biologie qui nous revèle mieux le processus de différenciation en cours d'évolution, témoignant par diverses formes de vie qui privilégient l'existence. En ce sens, la biologie de l'évolution contemporaine établit ses bases conceptuelles au-delà des idées de structure et de organicité. En association avec ces entrailles métaphysiques de la biologie, les considérations proposées ici deviennent une étude pertinente. Conçue à partir de Bergson, l'évolution de la vie se situe justement entre la différenciation et l'élan vital, en favorisant certain vitalisme plutôt qu'un simple aspect organique. De cette façon, le plan de la différenciation est précisément ce que l'on entend par évolution. Évoluer consiste en se transformer, en s'actualiser; d'une manière générale, est établir de nouvelles compositions, est admettre de nouvelles vitales. Le déploiement de la différence, pris comme un processus, conduit à un constant mouvement de mettre à jour de la puissance de la vie, sous les formes les plus diverses et les lignages biologiques au fil du temps, c'est-à-dire, il conduit à son évolution. En conséquence, les lignées évolutives deviennent vraiment une trame entrelacée des puissances affirmatives d'élan de vie, en perdant, donc, son caractère linéaire illusoire, sa conception pendant qu'améliorations dans la progression. L'évolutionnisme, finalement, quitte des termes structurels, ne lui laissant que la commodité de la consistance en rapport des tendances vitals. Le concept de différence de Bergson situé comme une marque de l'évolutionnisme réalise le processus biologique inépuisable de création de l'inédit viable, c'est-à-dire, la nature de la pure différence se dirige, en définitive, vers une production infinie des systèmes vifs exclusifs et orinigaux. À la suite de cette interprétation de la nature de la différence de Bergson, le concept d'évolution rend la vie une caractéristique plus polyvalente, belle et agréable. La vie, dans cette conception, est une expression du temps, et se passe comme un accident à la différence, tandis que l'évolutionnisme est sa perspective panoramique, qui confirme de possibles manifestations et des compositions matériaux du vif, sous la dynamique de la nature. Par ce biais, une nouvelle interprétation de la vie a été atteinte, à n'établir qu'un rapport de convenance à la faisabilité de la vie. En ajoutant la notion de différence comme une référence du fondement à l'évolution de la vie, il est possible d'étendre la base de l'évolution biologique: à côté de la capacité d'adaptation des organismes vivants aux circonstances objectives de l'environnement, on trouve la puissance inhérente de la différence interne à la vie elle-même, son élan vital, qui établit de nouveaux plans de possibilités pour la création éternelle des compositions du vif. Ce regard sur la différence est la nouvelle en philosophie de Bergson. Ceci est le triomphe de la conception de différence de Bergson. |
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Selon la différenciation, quelque virtualité potentielle peut venir instancier réellement et matériellement, en réservant et en annonçant effectivement sa concrétude dans l'existence sous la forme d'organismes vivants. En même temps, Bergson marque l'élan vital comme l'auteur du processus de différenciation, la possibilité de l'expression de la différence. Ainsi est la biologie qui nous revèle mieux le processus de différenciation en cours d'évolution, témoignant par diverses formes de vie qui privilégient l'existence. En ce sens, la biologie de l'évolution contemporaine établit ses bases conceptuelles au-delà des idées de structure et de organicité. En association avec ces entrailles métaphysiques de la biologie, les considérations proposées ici deviennent une étude pertinente. Conçue à partir de Bergson, l'évolution de la vie se situe justement entre la différenciation et l'élan vital, en favorisant certain vitalisme plutôt qu'un simple aspect organique. De cette façon, le plan de la différenciation est précisément ce que l'on entend par évolution. Évoluer consiste en se transformer, en s'actualiser; d'une manière générale, est établir de nouvelles compositions, est admettre de nouvelles vitales. Le déploiement de la différence, pris comme un processus, conduit à un constant mouvement de mettre à jour de la puissance de la vie, sous les formes les plus diverses et les lignages biologiques au fil du temps, c'est-à-dire, il conduit à son évolution. En conséquence, les lignées évolutives deviennent vraiment une trame entrelacée des puissances affirmatives d'élan de vie, en perdant, donc, son caractère linéaire illusoire, sa conception pendant qu'améliorations dans la progression. L'évolutionnisme, finalement, quitte des termes structurels, ne lui laissant que la commodité de la consistance en rapport des tendances vitals. Le concept de différence de Bergson situé comme une marque de l'évolutionnisme réalise le processus biologique inépuisable de création de l'inédit viable, c'est-à-dire, la nature de la pure différence se dirige, en définitive, vers une production infinie des systèmes vifs exclusifs et orinigaux. À la suite de cette interprétation de la nature de la différence de Bergson, le concept d'évolution rend la vie une caractéristique plus polyvalente, belle et agréable. La vie, dans cette conception, est une expression du temps, et se passe comme un accident à la différence, tandis que l'évolutionnisme est sa perspective panoramique, qui confirme de possibles manifestations et des compositions matériaux du vif, sous la dynamique de la nature. Par ce biais, une nouvelle interprétation de la vie a été atteinte, à n'établir qu'un rapport de convenance à la faisabilité de la vie. En ajoutant la notion de différence comme une référence du fondement à l'évolution de la vie, il est possible d'étendre la base de l'évolution biologique: à côté de la capacité d'adaptation des organismes vivants aux circonstances objectives de l'environnement, on trouve la puissance inhérente de la différence interne à la vie elle-même, son élan vital, qui établit de nouveaux plans de possibilités pour la création éternelle des compositions du vif. Ce regard sur la différence est la nouvelle en philosophie de Bergson. Ceci est le triomphe de la conception de différence de Bergson.A filosofia da diferença pensada por Bergson, em composição com os conceitos de diferenciação e de impulso vital, abre espaço para uma potencialização fundamental acerca da vida e para um alargamento do horizonte do evolucionismo. A diferenciação é a manifestação da força interna à própria vida. Pela diferenciação, qualquer virtualidade potencial pode vir a instanciar-se real e materialmente, reservando e anunciando de forma efetiva sua concretude em existência, sob a forma dos organismos vivos. Paralelamente, Bergson marca o impulso vital como o autor do processo de diferenciação, a possibilidade da expressão da diferença. Portanto, testemunhada pelas distintas formas vivas que prestigiam a existência, é a biologia que melhor nos mostra o processo da diferenciação operando-se, via acontecimento da evolução. Neste sentido, a biologia evolutiva contemporânea estabelece suas bases conceituais para além das ideias de estrutura e de organicidade. É em associação a essas entranhas metafísicas da biologia que as considerações aqui propostas ganham relevância de estudo. Pensada a partir de Bergson, a evolução da vida se situa precisamente entre a diferenciação e o impulso vital, privilegiando certo vitalismo em detrimento de um mero aspecto orgânico. Assim, o plano da diferenciação é exatamente o que se entende por evolução. Evoluir é transformar-se, atualizar-se; é, num panorama geral, instaurar novas composições, assumir novidades vitais. O desdobramento da diferença, tomado enquanto processo, conduz, então, a um incessante movimento de atualização da potência da vida, sob as mais diversas formas e linhagens biológicas, ao longo do tempo, isto é, conduz à sua evolução. Por conseguinte, as linhagens evolutivas passam a ser, verdadeiramente, uma trama imbricada de potências afirmativas do impulso da vida, perdendo, com isso, seu caráter linear ilusório, sua concepção enquanto progressão em melhoramentos. O evolucionismo, enfim, deixa de se estabelecer em termos estruturais, restando-o apenas a conveniência da consistência no âmbito das tendências vitais. Através de tal desdobramento, a concepção da diferença bergsoniana situada como marca do evolucionismo protagoniza o processo biológico inesgotável de criação do inédito viável, ou seja, a natureza da diferença pura se encaminha, em última instância, à produção infinita de sistemas vivos exclusivos e originais. Como resultado dessa interpretação da natureza da diferença em Bergson, a noção de evolução torna a ideia de vida mais versátil, bela e aprazível. A vida, nesta concepção, é uma expressão do tempo, e se faz como acidente à diferença, ao passo que o evolucionismo é sua perspectiva panorâmica, ao exibir possíveis das manifestações e composições materiais do vivo, sob a dinâmica da natureza. Sob este viés, uma nova interpretação da vida foi alcançada, ao estabelecer apenas uma relação com a viabilidade para o vivo. Adicionando-se a ideia de diferença como referência de fundamento à evolução da vida, torna-se possível estender o fundo da evolução biológica: ao lado da adaptabilidade dos organismos vivos às circunstâncias ambientais objetivas, está a potência inerente da diferença interna à própria vida, seu élan vital, estruturando novos planos de possibilidades para a eterna criação de composições do vivo. Este olhar sobre a diferença é a novidade na filosofia de Bergson. Este é o triunfo da concepção da diferença bergsoniana.Submitted by Boris Flegr (boris@uerj.br) on 2021-01-06T19:55:42Z No. of bitstreams: 1 Gustavo Pereira.pdf: 853892 bytes, checksum: 6d34656fbe4e6d99fd7032628bbab555 (MD5)Made available in DSpace on 2021-01-06T19:55:42Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Gustavo Pereira.pdf: 853892 bytes, checksum: 6d34656fbe4e6d99fd7032628bbab555 (MD5) Previous issue date: 2016-09-30Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superiorapplication/pdfporUniversidade do Estado do Rio de JaneiroPrograma de Pós-Graduação em FilosofiaUERJBRCentro de Ciências Sociais::Instituto de Filosofia e Ciências HumanasBergsonDifférenceDifférenciationÉvolutionVieBergsonDiferençaDiferenciaçãoEvoluçãoVidaBergson, Henri, 1859-1941Filosofia francesaDiferença (Filosofia)CNPQ::CIENCIAS HUMANAS::FILOSOFIADiferença e evolucionismo: questões bergsonianasDifférence et évolutionnisme: questions bergsoniennesinfo:eu-repo/semantics/publishedVersioninfo:eu-repo/semantics/masterThesisinfo:eu-repo/semantics/openAccessreponame:Biblioteca Digital de Teses e Dissertações da UERJinstname:Universidade do Estado do Rio de Janeiro (UERJ)instacron:UERJORIGINALGustavo Pereira.pdfapplication/pdf853892http://www.bdtd.uerj.br/bitstream/1/12290/1/Gustavo+Pereira.pdf6d34656fbe4e6d99fd7032628bbab555MD511/122902024-02-27 13:50:27.676oai:www.bdtd.uerj.br:1/12290Biblioteca Digital de Teses e Dissertaçõeshttp://www.bdtd.uerj.br/PUBhttps://www.bdtd.uerj.br:8443/oai/requestbdtd.suporte@uerj.bropendoar:29032024-02-27T16:50:27Biblioteca Digital de Teses e Dissertações da UERJ - Universidade do Estado do Rio de Janeiro (UERJ)false |
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